chajekat

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Santiago, retour sur terre...

C'est le moins que l'on puisse dire, vu que l'on avait prévu de commencer par visiter la ville et de finir par s'occuper de notre monture.

Un magnifique pare-brise feuilleté sera posé en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire (ça fait juste 3 mois qu'on l'attend…)

Nous changerons également les 4 pneus de popo, et achèterons nos sacro-saints filtres à air (c'est fou ce que les pistes sont poussiéreuses…).

Pendant tout ce temps, nous logerons chez notre famille de santiaguinos préférés et partagerons leur us et coutumes: le marché le matin, la sieste l'après-midi, l'heure du thé vers 19h, l'apéro vers 23h pour finir par l'asado usuel;

sans oublier les prières en se tenant par la main, avant de manger, après manger…On fêtera les 52 ans du père de famille (mécano qui nous décrassera un peu popo),

et comme à notre habitude pour des anniversaires d'homme de cet âge, on offrira évidemment un peu de whisky…

La mère de famille, Rosie, véritable nounou pour Charlotte (et Vicente) se proposera pour nous rafistoler la protection de toile de tente malmenée par les vents patagons (je sais pas combien d'heures elle a passé dessus, mais, pour sûr, un énorme merci).

Charlotte aura évidemment obtenu tous les suffrages en ramassant sucreries, jouets, tee-shirt souvenirs…Il suffisait juste qu'elle dise "gracias" pour faire fondre la galerie…

Bref, ce seront des adieux très émouvants, et une invitation est donnée pour la France (où?).

 

Après tout ça, nous avions bien besoin de repos; nous irons quelques jours à quelques dizaines de kilomètres de la capitale, au cajon de maipo situé dans les pré-Andes. Au programme: repos, balade à poney pour chachoune (depuis l'île de paques, elle arrête pas de nous tanner pour acheter un cheval…dans popo) qu'elle appréciera hors de nos espérances (elle qui a peur sur une balançoire; sur un cheval, c'est une véritable petite cavalière),

balade dans le canyon à la découverte de nos 1ers cactus

et visite de notre 1ère bodega chilienne,

la plus renommée, Concha y Toro, créée en 1883,

et célèbre pour son Casillero del diablo, baptisé ainsi pour faire peur aux paysans du coin, histoire qu'ils ne se servent pas…

sans être invités.

Tchin.



09/04/2010
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